Elle retire sa candidature déjà déposée ou elle ne participe pas ?
@bouguerneali9432 Says:
C’est pas une grosse pertes sa fais plus de 20 année qu’elle magouille avec le pouvoire le mieux qu’elles ferme sa guel de merde
@ahmedderrez7256 Says:
Tout a fais normale elle n'avait aucune chances de toutes façons elle à mangée depuis longtemps dans tous les rateliers des partie politique elle est tres Maline
@ahcenkhl1639 Says:
Elle n'a jamais été une opposante, elle fait semblant de l'être, elle soutient indirectement la issaba qui est au pouvoir .
@madjidhk7822 Says:
Durant les années 90 on a posé une question à Saïd Saadi que pensez-vous de Madame Louisa Hanoun sa réponse elle parle trop Monsieur Saïd Saadi a raison
@bdrbachir8488 Says:
Opposante, je crois pas. Elle aime le pouvoir comme moi
@bakugou5839 Says:
Opposante uqarqur 😂😂😂
@chemsoukoucheni Says:
Venez connaître le parcours politique de Louisa HANOUNE : Il est truffé de complots - cette harengère est rongée d'une vermine de défauts et d'envies dont on ne peut l'épurer car elle est opportuniste ...
Que dois-je dire ? Louisa Hanoune plutôt L'Eternelle Louisa HANOUNE , chef du PT ou ( des Pêteurs Tambourineurs ) qui nous ont fait danser pendant plus de 34 ans ( 1990- 2024 ) .
Dis donc , cette mégère insolente , antipathique et bazardeuse à avoir souffler depuis 27 ans et sans interruption dans le premier cor de l'orchestre politique algérien mais sans vouloir prendre retraite ...
Qu'a-t-elle de si secret à diriger le PT des militants oiseux et oisifs à lui laisser tout le pouvoir et sans rien depuis presque 03 décennies d'autorité absolue ? C'est absolument impensable à penser qu'elle est la plus vieille dame corrompue et chef d'un Parti dans le monde entier ( 27 ans de chefferie ) à tracter des milliers d'hommes féministes suivant un programme de revendications de travail pour des opportunistes- fainéants qui n'ont jamais travaillés , les bougres.
Louisa HANOUNE est une milliardaire , une fortune évaluée à plus de 210 milliards de biens immobiliers .
Que fait-elle encore dans la politique ?
Si elle était déjà candidate perdante et humiliée à la présidentielle : Candidatures présidentielles
- 2004: Elle obtient 1 % des votes (101 630 voix).
- 2009 : Elle est cautionnée par 4,22 % des suffrages (649 632 voix).
- 2014, elle avait glané 1,37 % des voix.
- 2019 , elle s'est retirée car certains travaillistes de son Part égaré l'ont obligé de ne pas se porter candidate pour laisser place à un autre - Elle a refusé et s'est retirée sans présenter aucun candidat du PT ...
Cette fois-ci , sa décision de se retirer est longuement réfléchie car elle sait que même les militants du PT ne vont pas voter pour elle .
Mieux vaut qu'elle démissionne du PT qu'elle a efféminé voire qu'elle était l'artisan du complot ourdi en 1997 pour faire déchoir Mustapha Ben Mohamed , le Fondateur et porte-parole de l'Organisation socialiste des travailleurs
1965 – 1990- Et , Premier secrétaire général du Parti des travailleurs du 29 juin 1990 – 5 juin 1997 (6 ans, 11 mois et 10 jours)
- Elle a évincé le fondateur pour fonder un nid de punaises au PT ...
Merci de votre attention ...
@madjidb21 Says:
Alors il faut qu'elle dissoude son parti si elle n'a aucune chance, c'est valable pour les autres partis. 😂
@madjidmessaoudene4692 Says:
elle a perdu d'avance elle le sais deja voire ses entassements politiques mal veillant St Egidio CNT est même au niveau de son parti elle a su quelle ne pourra a la tête de se grand pays
@benmouffokmhamed338 Says:
Opposante à qui ou quoi?
@valentinovalentino8091 Says:
Ce n'est pas vieux 70 ans ,par rapport a l'actuel " chef d'état"et les autres !
@valentinovalentino8091 Says:
Elle a raison de ne pas participé à une mascarade BRAVO MADAME LA BATTANTE !
@horizon1460 Says:
Tu reprends ton partie politique de gauche aucun problème avec mon programme politique inchallah démocrate d’abord et républicain par le nouveau FLN
@TheLagab21TeamEterNal Says:
Le régime algérien actuel est une source de profonde désillusion et de frustration. Malgré mes 48 heures de travail par semaine, et un salaire qui atteint les 60.000 Da soit 3 fois le smic aujourd'hui qui est a 100$, je ne peux ni me payer un loyer décent ni acheter une voiture pour mes déplacements au travail. Les salaires stagnent tandis que le coût de la vie ne cesse d'augmenter, créant un fossé de plus en plus grand entre les aspirations des citoyens et la réalité économique. À cela s'ajoute le manque criant d'infrastructures de loisirs et d'espaces verts à la capitale, rendant notre quotidien encore plus difficile et dénué de répit.
La politique algérienne actuelle semble complètement déconnectée des besoins et des aspirations de son peuple. Plutôt que de mettre en place des réformes économiques et sociales pour améliorer la qualité de vie, les dirigeants semblent plus préoccupés par le maintien de leur pouvoir et de leurs privilèges. Les jeunes, malgré leurs compétences et leur volonté de contribuer à la société, se retrouvent souvent sans emploi ou sous-employés, alimentant un sentiment de désespoir et de frustration.
Le manque de transparence et de responsabilité dans la gestion des affaires publiques aggrave encore la situation. Les ressources naturelles du pays, qui pourraient être un levier de développement, sont souvent mal gérées ou détournées par une élite corrompue. Les services publics, tels que la santé et l'éducation, se dégradent de jour en jour, privant les citoyens des droits les plus fondamentaux.
La bureaucratie étouffante et les pratiques administratives archaïques rendent la vie quotidienne encore plus pénible. Les procédures longues et compliquées pour accéder aux services de base, obtenir des documents officiels ou lancer une entreprise sont autant d'obstacles qui freinent l'initiative individuelle et l'innovation.
De plus, certaines lois régressives viennent ajouter une couche supplémentaire d'injustice. Par exemple, la loi interdisant aux binationaux de travailler en tant que journalistes est une atteinte flagrante à la liberté de la presse et à l'inclusion. Cette disposition discriminatoire prive le pays de talents potentiels et renforce le contrôle de l'État sur les médias, réduisant ainsi l'espace pour un journalisme indépendant et critique.
Les restrictions imposées aux libertés civiles et politiques, telles que les limitations à la liberté d'expression, les pressions sur les opposants politiques et les activistes, ainsi que l'absence de justice indépendante, contribuent à un climat de peur et de répression. Les manifestations pacifiques sont souvent réprimées, et les voix dissidentes sont réduites au silence, laissant peu de place au dialogue et à la critique constructive.
Cette année, à l'approche des élections présidentielles, le régime fait tout pour banaliser cet événement crucial et le faire oublier, en réprimant les candidats et en étouffant le débat public. Les manipulations et les tentatives de réduire l'importance de ces élections montrent clairement la volonté du pouvoir en place de se maintenir coûte que coûte, sans tenir compte de la volonté populaire.
Il est urgent de dénoncer ces politiques qui maintiennent la population dans une précarité constante et de réclamer un changement radical pour un avenir meilleur et plus équitable pour tous. Le peuple algérien mérite des dirigeants capables de répondre à ses besoins, de respecter ses droits et de lui offrir des perspectives d'avenir dignes de ce nom.
LATEST COMMENTS