Espagne : analyse de la décision de Pedro Sánchez de ne pas démissionner
Espagne : analyse de la décision de Pedro Sánchez de ne pas démissionner
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@pacsu31 Says:
Pedro Sanchez a placé ses pions dans presque toutes les institutions et les contrôle : Tribunal constitutionnel, procureur general de l'état, TV et radio publiques, medias privés (abondamment graissés)...même La Poste et l'entreprise qui procède au comptage des voix lors des élections. Seul l'organe de contrôle des juges (le Conseil Général du Pouvoir Judiciaire) lui échappe pour l'instant car le renouvellement des membres de cet organe doit se faire en négociant avec l'opposition, et ça, il ne le supporte pas...Il suit pas à pas la stratégie de Hugo Chavez en 1999. Une dictature "à la vénézuélienne" est en train de se mettre en place en Espagne, et l'UE regarde ailleurs en sifflotant...
@ohmy5650 Says:
Cela lui a aussi permis de signaler qu'il ne fuit pas la justice indépendamment du résultat de la procédure. Si même aux US les politiques ne fuient pas la justice, il aurait pauvre mine s'il avait démissionné. Surtout ces jours-ci où la démocratie de gauche ne fait plus parler d'elle comme au temps de ses années sensiblement plus fastes, pas si lointaines.
@user-yn3cx6dd5s Says:
démocratie à la sheparadi😅
@patco4317 Says:
Pedro Sanchez va détruire l'Espagne comme la France à été détruite par Macron... C'est un immigrationiste !!! Pro- van der leyen ! Vraiment triste pour ce pays que j'aime tant.😢
@pierrevauban6309 Says:
Il n'avait pas le choix, il fallait mettre en place un écran de fumée entre lui, son épouse et les "affaires" mises à jour récemment. Cela lui a permis aussi de mettre tous les scandales sur le dos de la droite et de l'extrême droite...
@mikelumbreras4903 Says:
Je me demande si quelqu'un a pu croire un seul instant à cette déclaration de démission...

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