Ben voyons.... La drogue servirait de circonstance atténuante ?
C'est un argument de macronneux ?
@annadevath5205 Says:
Misère affective ? Le pauvre ! je crois que c'est celui qui voulait vi... sa mère.
@nonononononono777 Says:
L'avocate du "diable" comme elle l'appelle semble oublier que lui aussi a violé sa femme lorsqu'elle était droguée.
Dire qu'il n'y aurait pas de procès Dominique Pelicot sans les co-accusés, c'est factuellement faux.
Cependant, il n'y aurait pas une telle couverture médiatique.
@lelanor2495 Says:
Et voilà, on commence à parler de "misère affective", tout comme les féminicides sont appelés "crimes passionnels".... Et pendant ce temps là des ministres font tout ce qu'ils peuvent au nom de leur soi-disant morale pour bâillonner le plus possible les programmes d'éducation affective et sexuelle à l'école, c'est pourtant là qu'il faut prendre le mal : à la racine, en éduquant !
@patcartier8171 Says:
La différentiation des peines est un cas exemplaire de diptérosodomie. Alors qu'un principe simple devrait s'appliquer : « Quand on viole, on a toujours vingt ans. »
@CreativeAnnafs1s Says:
C'est génial ! Merci pour votre travail acharné et votre talent ! 🐱💞
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